Xerfi Canal: rester employable face aux défis de l'IA
Par AMO
Ce que j’en retiens
- Être dans l’équilibre entre compétences IA compatibles et compétences centrées sur le care pour travailler sans numérique ni IA, tout en conservant la capacité de réflexion.
- Progresser à différents niveaux de maturité dans l’utilisation de l’IA générative :
- Premier niveau : Utilisation des outils d’IA comme des assistants, nécessitant toujours une supervision humaine.
- Deuxième niveau : Engager des freelances spécialisés pour des tâches précises et bien réalisées, mais compartimentées.
- Troisième niveau : Personnalisation des services grâce à une IA générative, similaire à une secrétaire connaissant les besoins et préférences spécifiques.
- Quatrième niveau : Automatisation de tâches dans divers domaines, réduisant ou éliminant le besoin d’intervention humaine.
- Cinquième niveau : Création d’un assistant virtuel personnalisé basé sur les données et le mode de pensée de l’utilisateur, agissant comme un copilote dans le travail.
- Évoluer progressivement vers ces niveaux d’apprentissage pour devenir IA compatible en utilisant des approches de progression, de test and learn.
- Ajouter continuellement une couche de valeur ajoutée en tant qu’humain à chaque étape pour compléter les capacités de l’IA et éviter d’être remplacé, en étant créatif et en proposant des solutions innovantes.
Conclusion
Il faut se saisir de l’IA, de ses différentes variations, pour mieux en appréhender les limites ! Pour reprendre l’image de Luc Julia, ce n’est qu’un marteau dans notre boite à outils. Un marteau adapté à certaines situations et pas à d’autres.
En gardant un oeil sur le bilan CO2 pour fabriquer cet outil ? 😑